ADISQ : la réintégration des artistes par la justice réparatrice

Paru le 31 octobre 2024



Depuis deux ans, l’Association québécoise de l'industrie du disque, du spectacle et de la vidéo (ADISQ) travaille sur un processus de réintégration des artistes visés par des allégations criminelles. Eve Paré, la directrice de l’ADISQ, a dévoilé le processus de réintégration que l’organisme a choisi de mettre en place en collaboration avec Équijustice, lors de l’émission « DANS LES MÉDIAS» spéciale ADISQ (S8 Épisode 8).

« Une fois la décision d’aller de l’avant dans le processus de réintégration, il y a des rencontres préparatoires qui se font avec un organisme qui s’appelle Équijustice. On est dans la sphère de la justice réparatrice, donc c’est un organisme qui nous aide dans le dialogue avec l’artiste. Qu’est-ce que l’ADISQ attend de cette réintégration, Que ’est-ce que l’artiste a à dire à L’ADISQ? […] Ce qu’on essaie de faire, c’est de trouver une façon honnête d’analyser les situations et de prendre la meilleure décision possible pour l’ADISQ. »

« Tout le travail qu’on a fait ces derniers 24 mois vise justement de s’éloigner le plus possible des apparences d’un tribunal. C’est pour ça qu’on a commencé à travailler avec Équijustice la facilitation du dialogue, pour vraiment être capable d’avoir une discussion sereine sur l’avenir. Tout ce fait au travers du spectre des valeurs de l’ADISQ, et notamment on croit à la réintégration, mais il faut qu’il y ait une démarche de la personne qui soit honnête […] une démarche sincère […] et une reconnaissance des faits. » Eve Paré, directrice générale de l'ADISQ

Écouter l'épisode complet de l'émission « DANS LES MÉDIAS » spéciale ADISQ (S8 Épisode 8).

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